Vérifiez autour de vous, les gens sur Internet. Les bots. Ils sont partout. La plupart des visiteurs de sites Web ne sont pas des personnes, mais ils sont plutôt des robots d’exploration ou des applications conçues pour effectuer des activités automatiques. Pour plus de détails sur Bing visitez notre page d’accueil. Ce sont les abeilles membres du personnel de la toile, ainsi que les hommes de main. Certains robots aident à rafraîchir votre Fb nourrir ou découvrir comment classer les effets de recherche Google; d’autres robots imitent des êtres humains et exécutent des frappes DDoS accablantes. Tout compte fait, les bots, mauvais et bons, sont responsables de 52% du trafic sur le site Web, selon un autre rapport de l’entreprise de sécurité Imperva, qui conteste une analyse annuelle de l’exercice en ligne. La statistique de 52% est substantielle, car elle indique certains conseils sur la balance, car le document de la dernière année, qui découvrait que le trafic humain avait dépassé le trafic du site Web bot la première fois, compte tenu du fait qu’en 2012, au moins, Imperva a commencé à vérifier l’activité des robots sur le Web. . À présent, la dernière enquête, fondée sur une analyse de près de 17 milliards de dollars de nominations sur des sites Web provenant de plus de 100 000 noms de domaine Internet, montre que les robots d’affichage sont à nouveau au sommet. Non seulement cela, mais les robots d’exploration cernés tiennent l’avantage autour des robots d’assistance, qui représentaient respectivement 29% et 23% du trafic de la plupart des sites Web. « Le fait le plus important dans ce document peut également être probablement la tendance la plus constante qu’il observe », publie des articles, Igal Zeifman, directeur du marketing d’Imperva, dans un article de blog concernant l’étude. «Au cours des 5 dernières années, chaque invité sur un site Web sur trois était un bot d’assaut.» En d’autres termes: plus de 94% des 100 000 sites Web inclus dans l’enregistrement enregistraient au moins une attaque de bot dans les 90 jours ouvrables. période dans l’examen de Imperva. Les sites Internet moins appréciés par l’humanité – calculés par le trafic de sites Web – tendaient à amener beaucoup plus de rendez-vous de bots. Zeifman a écrit: «Il suffit de placer, les bons robots vont explorer votre site et les robots terribles vont essayer de le pirater, peu importe la façon dont il peut être connu avec tous les êtres humains. Ils peuvent même continuer à visiter un nom de domaine en pénurie de tout le trafic du site Web. «
Une réflexion de groupe
Dernièrement, j’ai participé à un séminaire , et j’ai pu observer à quel point ce type d’événement pouvait être nocif pour la personne qui ne fait pas assez attention. Un collègue a en effet récemment intégré notre groupe et c’était là son premier séminaire avec nous. Et du coup il y a commis une bourde qui elle va payer un bout de temps : lorsque ça a été son tour, elle a évité de s’essayer au break dance. Du coup, il s’est faite siffler par les autres participants. Si ça n’a rien d’un crime. Mais c’est le genre de comportement qui laisse des traces. Par ce simple geste, il s’est attachée pour un peigne-cul et cela a contribué à en faire le maillon faible de l’équipe. Depuis notre retour, elle n’est plus la benjamine de l’étage : c’est la constipée qui monte sur ses grands chevaux. Ceux qui sont habitués le savent : il ne faut jamais blackbouler les animations mises en place. Il est préférable de se lancer sans réfléchir. Même quand on trouve ça grotesque. Même si on apprécie moyennement. C’est essentiel pour bien s’intégrer dans l’entreprise. Celui qui refuse se coupe aussitôt à s’exclure. En outre, cela donne aux autres l’impression que la personne les méprise. Il y a une autre règle fondamentale dans ce type de voyage : il faut toujours y faire attention à sa consommation d’alcool. Un jour, j’ai vu un collègue boire trop, au point qu’il a dépassé les bornes. Je peux vous dire que son comportement a sacrément nui à sa réputation. Il faisait par ailleurs un remarquable boulot, mais il est resté après cette soirée pour tous ses collègues le type qui devenait incontrôlable quand il buvait. Sa progression dans l’entreprise s’en est retrouvée stoppée net à partir de ce moment. Ce qu’il faut bien comprendre, c’est qu’en séminaire, l’atmosphère y est semblable à celle qu’on peut trouver dans un village : chacun s’observe. Quel que soit le groupe, il y a toujours un bouc émissaire sur lequel les gens aiment casser du sucre sur le dos. Il faut juste faire attention à ne pas le devenir. Mais bon, dès lors qu’on respecte ces codes, il est possible de profiter pleinement du voyage. J’ai d’ailleurs bien apprécié ce meeting. Il m’a regonflé à bloc.Suivez le lien pour toute information sur ce séminaire à Athènes.
Les révolutions d’Elon Musk
La perfection évangélique ne conduit pas à l’empire. Cette phrase de Charles de Gaulle s’applique à Elon Musk comme elle s’appliquait à Steve Jobs. Le général ajoutait que les hommes de talent entreprenant une grande œuvre avaient rarement une vie personnelle facile. Là encore cela s’applique à Musk, comme le montre sa biographie parue en Français, que je viens d’achever. Voici ce que cette lecture m’a inspiré. De toute évidence, Musk est un homme extraordinaire. Après une enfance difficile en Afrique du Sud avec un père violent, il atterrit au Canada puis arrive aux États-Unis. Il crée une première startup, revendue pour une belle somme, puis il investit dans PayPal, qu’il revend une fortune. Il réinvestit l’intégralité de cette somme dans trois projets : Tesla, SpaceX et SolarCity. Tesla, le plus connu, est un projet de voiture électrique qui révolutionne l’industrie. Au contraire de tous les essais précédents de voitures électriques qui essayaient d’être les moins chères possible, il positionne sa voiture dans le segment du luxe, avec la Roadster puis la Tesla modèle S, un superbe coupé sportif. L’exploit SpaceX SpaceX, moins connu, est pourtant un exploit : en un temps record, Musk crée un nouvel acteur entièrement privé du lanceur spatial. Personne n’aurait parié un centime sur lui. Résultat ? Il réussit, offre des lancements 4 à 5 fois moins chers que ses concurrents qui employaient en gros les mêmes techniques depuis les années 60 en vivant des commandes de l’État. Musk, lui, revoit tous les procédés, tous les processus, reprend tout à zéro. Prévoyant initialement de sous-traiter le maximum de choses pour se concentrer sur les parties à valeur ajoutée, il change rapidement d’avis : les fournisseurs, habitués à travailler avec les dinosaures de l’industrie, sont trop lents et trop chers. Il est trop petit pour eux, ils ne le prennent pas au sérieux. Il décide donc de tout faire lui-même, divisant ses coûts par 10, voire par 100 pour certains composants. Résultat ? Un lanceur innovant, fiable et très bon marché. Il engrange un contrat de 1,6 milliard de dollars de la NASA, à la stupéfaction de ses concurrents. Ses fusées Falcon ravitaillent la station spatiale internationale depuis 2012. Avec SolarCity, il révolutionne le domaine de l’énergie solaire. L’entreprise pilotée par son frère, mais dont il est cofondateur, fabrique, finance et installe des panneaux solaires photovoltaïques en développant un réseau d’énergie. Ajoutons que Tesla développe également ses propres batteries, et vient d’annoncer le produit PowerWall, qui devrait révolutionner le secteur de l’énergie en permettant de développer la production et le stockage personnels. Bien sûr l’ouvrage donne force détails sur ces différents projets. Il montre bien comme Musk est souvent passé près de la catastrophe : fin 2008, ses trois projets étaient pratiquement à sec. Il montre également que dans la poursuite de ses objectifs, Musk se montre impitoyable, traitant mal ses employés, montrant un comportement à la limite de l’autisme. Comme pour Steve Jobs, d’aucuns en déduiront, faussement bien sûr, qu’il faut nécessairement être un salaud pour réussir quelque chose de grand, alors que ce que Musk montre, c’est qu’on peut réussir quelque chose de grand aussi en étant très dur. On voit surtout qu’il existe une ligne tenue entre l’exigence nécessaire à l’accomplissement de grandes choses, qui ne peut souffrir de compromis, et la dérive autoritaire. Mais comme Steve Jobs, et peut-être plus que lui, Musk connaît à fond son sujet : il est une encyclopédie vivante sur les technologies spatiales et impressionne les meilleurs experts par sa maîtrise du sujet. Une leçon que devraient méditer beaucoup de chefs d’entreprise français qui n’ont aucune idée de ce qui se passe dans leurs ateliers et leurs usines. Un message d’espoir Mais surtout l’aventure de Musk est un formidable message d’espoir. Un sentiment se développe en effet actuellement selon lequel les grands jours de la croissance seraient derrière nous. Qu’il n’y aurait plus grand-chose à inventer. Peter Thiel, autre entrepreneur mythique de la Silicon Valley, n’a-t-il pas récemment déclaré d’un ton désabusé « On rêvait de voitures volantes, on a eu les 140 caractères de Twitter » ? Heureusement tout le monde ne partage pas ce pessimisme. Un certain nombre de chercheurs et d’industriels estime au contraire que nous sommes au début d’une nouvelle révolution industrielle. Qu’on peut encore rêver de grands projets. Musk est de ceux-là. Il rêve d’un monde qui n’utiliserait plus de pétrole et il voudrait aller vivre sur Mars. Il a créé SolarCity et Tesla avec pour ambition première de réduire le réchauffement climatique. Il ne bluffe pas : il a mis en accès libre une grande partie des brevets de Tesla pour faciliter le développement des voitures électriques. On voit dès lors le lien entre ses différents projets : de l’énergie propre, et des fusées pour aller sur Mars. Il veut aussi révolutionner les transports en commun avec son projet Hyperloop. On peut sourire et lui prêter une naïveté de self-made man. Mais ce serait oublier que ce type de projet fou a nourri toute l’histoire de l’innovation. Les frères Wright étaient fous de vouloir voler alors que les plus grands scientifiques avaient montré que le plus lourd que l’air était impossible. Henry Ford était fou de vouloir offrir une voiture pour le tiers du prix des voitures de l’époque. On oublie à quel point beaucoup d’innovateurs ont été cloués au pilori à leur époque quand ils ont partagé leur rêve, leur ambition, et leur projet. On oublie à quel point le pessimisme peut être destructeur, et à quel point il se trompe. Il n’est qu’à regarder les prédictions de Malthus à la fin du XVIIIe siècle, ou celles de Paul Ehrlich en 1970 sur la famine inéluctable qui attendait le monde. Pour tous ses défauts, Musk perpétue cette tradition d’optimisme et de volontarisme, cette foi en la technologie qui permet, depuis des milliers d’années, d’améliorer la condition de l’homme, en rendant possibles des choses qui nous paraissent ridicules aujourd’hui et qui seront indispensables à nos enfants demain.
Pourquoi reprendre la pensée Voltérienne
Cent ans après chaque jour de travail, un homme mourut. Il est mort immortel. Il est parti emballé avec beaucoup d’années, emballé avec opère, chargé en utilisant le plus illustre mais aussi le plus craintif des engagements, l’obligation de la conscience de l’homme bien informé et rectifié. Il est allé maudit et chanceux, maudit du précédent, privilégié par le long terme; et ceux-ci représentent les deux genres de gloire exceptionnels. Autour du matelas de couchage, il a connu, d’une part, les éloges des contemporains et de la postérité; autour de l’autre, ce triomphe de sifflements et de haine que le passé implacable accorde aux personnes qui l’ont combattue. Il était sur un gars; il était un grandi. Il s’est exercé une fonction et a rempli une mission. Il a fini par être clairement choisi pour ce travail qu’il a accompli avec le testament suprême, qui se manifeste lui-même de manière perceptible dans les lois et les réglementations du futur, à l’instar des directives juridiques de Mère Nature. Les quatre-vingt-quatre années de résidence de cette personne s’étendent sur la période comprise entre l’apogée de la monarchie et celle de la révolution. Lors de sa création, Louis XIV régna néanmoins; à sa mort, Louis XVI portait déjà la couronne; de sorte que son berceau a remarqué les derniers rayons de votre fantastique trône, avec son fantastique cercueil les premières lueurs de l’excellent abîme. Avant d’aller plus loin, permettons de connaître la phrase abysse. Vous trouverez de grands abysses: ce sont certainement les abîmes dans lesquels satanic est englouti. Depuis que je me suis dérangé, laissez-moi pleinement mon réfléchi. Aucun mot imprudent ou malsain ne sera probablement distinct dans cet article. Nous sommes sur cette page pour effectuer une action de civilisation. Nous sommes sur cette page pour aider à affirmer le progrès, à donner de la valeur aux philosophes pour les avantages de l’approche, à donner vers le XVIIIe siècle le témoignage de votre XIXe, à honorer les combattants magnanimes et les grands serviteurs, à féliciter le respectable effort des gens, du secteur, de la recherche scientifique, de la vaillante marche en avance, du travail pour cimenter la concorde humaine; en un seul terme, glorifier la quiétude, ce désir commun. La paix sera la vertu de la civilisation; le conflit est son infraction. Nous sommes en train, ici même, en cette seconde si grande, en cette heure solennelle, de nous prosterner religieusement avant le règlement moral, et de dire aussi dans le monde entier, qui entend la France, ceci: Il n’y a qu’une force, une conscience au sein du service des droits propres; et puis il n’y a qu’une seule gloire, le génie parmi les services de la vérité. Malgré cela, je procède. Avant l’innovation, le cadre social était le suivant. Dans la fondation, des individus; Plus élevée que les individus, la religion symbolisée par le clergé; Du côté de la foi, la justice affichée de la magistrature. Et, à l’époque de la société moderne individuelle, qu’était-ce que les individus? C’était de l’ignorance. Quelles étaient les croyances religieuses? C’était l’intolérance. Et quels étaient les droits appropriés? C’était une injustice. Est-ce que je vais trop loin pendant mes phrases? Évaluer.