Les défis du Président de la République

Emmanuel Macron entend devenir quelque chose de nouveau dans la politique nationale française: un dirigeant qui répond aux préoccupations du grand public sans perdre ses réformes dans le symbole initial de la difficulté. Alternativement, il s’est efforcé de relayer les griefs du grand public et de se comporter sans céder directement aux besoins de tous les manifestants. Pour ce particulier, il mérite des antécédents de crédit. Pour sortir la France des difficultés financières suscitées par les protestations, il lui faut néanmoins intensifier ses réformes. La réponse initiale de Macron aux protestations – un paquet de documents de 10 milliards d’euros (11,2 milliards de dollars), ainsi qu’une hausse du salaire minimum – ont été négligées pour les conclure ou faire passer sa note de reconnaissance parmi les plus basses années 30. Il a donc demandé aux autorités publiques d’écouter les individus et a beaucoup parlé et pris soin de lui-même. Un grand nombre de discussions ont eu lieu pendant soixante jours, puis il y avait eu près de deux millions de réponses en ligne. Pour montrer que son gouvernement avait reçu une compensation compensée, un humble Macron a introduit le 25 avril des réductions d’impôts de 5 milliards d’euros, une implication des citoyens dans la prise de décision monétaire, des prestataires décentralisés pour le grand public et une réduction des obstacles à l’organisation de référendums. Dans le même temps, il a correctement refusé de recouvrer l’impôt punitif sur le revenu monétaire éliminé ou peut-être de fournir les gilets de couleur jaune aux référendums sur la motivation des citoyens qu’ils souhaitaient. Il est facile de ne pas tenir compte de l’excellente controverse nationale de Macron. Toutes les personnalités politiques poursuivent des tournées d’écoute occasionnelles. Mais il est très rare que ce type de séance d’entraînement soit entreprise par un administrateur n’ayant pas à traiter d’élections politiques – et il est difficile d’envisager un précédent sur la gamme des exercices de Macron. Pour être sûr, c’est une indication que son état est désespéré. En France, l’accord contractuel standard en vertu duquel le statut prélève d’importants impôts sur le revenu et offre des services professionnels complets ainsi qu’une défense de la société, est compromis. Le gouvernement américain taxe plus le produit intérieur brut que les autres pays sophistiqués, le taux de chômage reste pratiquement égal à 9% (il est particulièrement élevé pour les plus jeunes) et plusieurs Français ont vraiment le sentiment que la vie s’aggrave encore. Pour résoudre ces problèmes et atteindre son objectif de carrière, Macron doit transformer le climat économique. Presque à mi-chemin de son discours de plusieurs saisons, il a réalisé des modifications bien connues, notamment en éliminant certains contrôles rigides sur le marché de l’effort. Néanmoins, la composante difficile est en avant. Ils ont quelques petites méthodes en tête. Il s’est engagé à mettre fin à la célèbre Ecole Nationale d’Administration, l’académie de formation des fonctionnaires français (avec son alma mater). Mais cela ne réduira pas et ne décentralisera pas une assistance civile surdimensionnée qui a faim. De la même manière, son assurance de réduire les dimensions de la salle de classe des plus jeunes élèves à un maximum de 24 ne réduira pas les inégalités en matière d’éducation. Macron a expliqué qu’il avait demandé à l’excellent ministre Edouard Philippe d’élaborer des plans pour encore plus de réformes. Cela peut faire gagner du temps au président et l’aider à répartir ses responsabilités. Macron doit cependant reconnaître qu’une activité importante ne doit pas être différée à jamais.

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